lundi 28 janvier 2019

Ci-git... les jaunes... et les bleus aissi puisqu'on y est !


Mais non, je ne suis pas un gilet jaune ! Aïe !
Oui, j’en avais un sur moi quand vous m’avez arrêté. Et alors ! C’est parce que la loi m’oblige à le porter.
Évidemment, j’avais un casque aussi et pour la même raison ; la loi m’oblige à les porter, je vous dis. Aïe !
Si je vous prends pour un con ?! Attendez, je vais y réfléchir. Aïe ! Si vous me laissez le temps… Non, non, je ne me permettrai pas.
Quoi ? Je bloquai la voie publique avec un véhicule de société ? Évidemment, puisque je suis en dépannage mais il est garé. Et c’est mon véhicule. Et j’ai mon matériel dedans. Je ne vais pas me garer à 100 mètres tout de même.  Aïe !
Mais, bordel, arrêtez avec votre matraque !
Pourquoi j’ai des photos de la manif sur mon téléphone ?! Mais, c’est parce que ça s’est passé sous mes yeux ! Aïe ! Arrêtez, merde, à la fin ! La manif passait sous les fenêtres du chantier alors, j’ai pris des photos pour montrer à ta sœur, heu, à ma femme, à-ma-femme.
Ben oui, c’est tout. Vous pouvez voir, elles ont été prises d’en haut. Je suis électricien. La loi m’oblige à porter un gilet jaune et un casque.
Quoi, je peux y aller ! Comment ça ‘et que je ne recommence plus’ ! Oh ! Vous y allez un peu fort, là. Aïe ! Ok, ok, j’y vais. 

Oh putain, quand je vais raconter ça à ma femme ! Sûr qu’elle ne va plus lui parler à son frère. S’il croit que je ne l’ai pas reconnu dans son habit de CRS ! 

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
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lundi 21 janvier 2019

Liberté et/ou libertinage en hiver


Un de mes amis vient de mettre en ligne un article sur un livre érotique. 

Vous pouvez lire son commentaire sur le blog « Gravillons » : 
et il m’est venu une idée : 

Nous sommes en hiver donc, imaginez que chacun fasse l’amour à sa moitié… les économies de chauffage que ça ferait ! Et ça rapprocherait, à ne pas en douter. 

Au lieu de ça, si on veut trouver un peu de chaleur, on est obligé d’enfiler un gilet jaune et d’aller squatter un rond-point ! C’est-y pas malheureux d’en arriver là !?
Mais que fait la police ?  
Elle dort. Et quand elle ne dort pas, elle se bat contre ceux qui sont comme eux : mal aimés. Je suis triste de voir cette situation perdurer. 

Voilà, c’était ce que je pense en ce lundi matin. 
Maintenant, il faut que j’aille au travail car, quand on est un vrai patron, un patron honnête, un patron qui se respecte, on se doit d’être là avant ses ouvriers, d’être à côté d’eux pendant le travail et de partir après eux. 

Puisque j’y suis, allez visiter (un clic sur) le site de « VittorioDenim » ; il s’est donne la peine de le faire, il travaille dur, il a le droit de recevoir de la visite, lui. 

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dimanche 13 janvier 2019

Ami = Respect réciproque


Il me vient en mémoire un proverbe provençal : « Ami oou presta, ennemi oou rendre. » Ce qui se traduit, vous l’avez déjà deviné, par « Ami quand on prête, ennemi quand il faut rendre. » Et, ce proverbe, ou dicton, est un excellent conseil. 

D’ailleurs, il m’en vient un autre que j’ai entendu à la télé, dans un téléfilm : « Quand un ami te demande de lui prêter de l’argent, si tu peux, tu donnes ; tu ne prêtes pas. » Bon, dans le téléfilm, celui qui disait ça avait donné une forte somme à un de ses amis et, celui-ci avait été assassiné. Le « donneur » était donc suspecté car le « receveur » ne pouvait pas rendre… déjà avant d’être mort, bien sûr. 

Tout ça pour vous dire que si vous venez me demander de l’argent, je vais vous faire gagner du temps : restez chez vous ; je ne prête pas et je ne donne pas non plus. 

Message à l’attention de celui qui m’a dédaigné quand tout allait bien pour lui, qui m’a ignoré et évité quand j’avais besoin, qui se prétend être mon ami, cinq ans après, et qui me met dans une situation conflictuelle me traitant de noms vexants. 

D’abord, comme dit le proverbe : « Celui qui cesse d’être un ami ne l’a jamais été » et tu ne m’as jamais traité en ami. 
Ensuite, il n’y a pas tatoué écureuil sur mon front ! 
L’amitié, ça va dans les deux sens.

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lundi 7 janvier 2019

Sol, des, soldes et voeux


Vous savez, moi, à Belfort comme ailleurs, une fois fêté le Nouvel An, j’attends les soldes. Ce n’est pas parce que je suis patron que je roule sur l’or. 

J’ai une petite entreprise ; je ne suis pas un de ces voleurs qui gagnent dix mille fois le salaire minimum d’un de leurs employés. 
Moi, je suis payé comme mes employés. Ils le savent et me considèrent. Juste qu’eux, ils ne doivent pas faire leur comptabilité, achats de fournitures et recouvrements en rentrant le soir chez eux. 

C’est pourquoi, en janvier, j’attends les soldes. 

Mais, en attendant et comme j’ai poussé mon premier coup de gueule de l’année, et que je me sens prêt à l’affronter, j’en profite pour vous souhaiter une 

Belle et Heureuse Année 2019

Et, que les affaires soient bonnes. 

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