mardi 25 février 2020

Venise suite... non princière


Sur mon post du 16/02, je vous expliquai pourquoi je n’étais pas allé au carnaval de Venise. Et j’expliquai aussi pourquoi j’étais obligé de me contenter d’un carnaval local. 

Je l’ai regretté… presque.  
Aujourd’hui, je suis bien content de ne pas y être allé ! 

Mais si ! Vous avez vu ce qui s’est passé ? Des villes ont été bloquées ; on ne rentre pas et on n’en sort pas non plus ! 

Non, je ne crois pas que c’est si dangereux que ça mais je n’aurais pas pu me permettre d’être bloqué à Venise. 
Bien sûr que ça m’aurait plu mais qui aurait satisfait mes engagements de travail sur Belfort ? 

C’est que, être à son compte, ce n’est pas évident. On signe un contrat et il faut le respecter sinon on vous met des pénalités de retard pour les travaux ! Donc, vacances aléatoires et surtout ne pas tomber malade. 

Bon, c’est vrai, c’est bien triste pour tous. Je compatis. 

Autre chose, j’ai appris que Vittorio, mon collègue des « Mousquetaires de la Poésie », a sorti non pas un mais deux livres de nouvelles en même temps : Contraste et Dilemme dont je vous invite à lire quelques pages sur thebookedition.com ; c’est à vous donner envie de créer un « fan club ».

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

lundi 17 février 2020

Venise, masques et surprises


Pour le carnaval de Venise, cette année, nous avons hésité à prendre des billets pour y aller. Au dernier moment, on s’est dit : « Laissons les masques venir à nous ! » 

Il faut dire que nous sommes allés plusieurs fois à Venise et pour des raisons diverses. 
Vous avez sans doute fait comme ma femme et moi, d’ailleurs, parfois c’était un peu imposé, parfois c’était pour s’y retrouver, parfois c’était par envie de voir si ce que disent les autres, ce qu’on entend à la télé, est vrai, etc. 

Pour vous expliquer, mettons la première fois et la dernière fois que nous avons visité cette ville sur eau. 

La première fois, c’était pour notre mariage. Ma femme voulait un voyage de noces à Venise. Bah, pourquoi pas ! Personnellement, je trouvais plus romantique une croisière sur le Rhin mais, ce que femme veut… et puis, comme je l’ai dit précédemment : « Pourquoi pas ! » Et, c’était merveilleux. Que cette ville m’avait semblé belle ! Chaque coin de ‘rue’, chaque pont, chaque point de vue, était étonnant et agréable. Et je pourrais en rajouter tellement j’avais fait de photos… 

La dernière fois, c’était il y a 2 ans (soit 20 ans plus tard), nous y sommes retournés pour la quatrième fois et c’était « beaucoup de pierres, beaucoup d’eau trouble, trop de commerces attrape touristes, etc. ». 

Je ne dirai pas que nous avons été déçus car, le seul fait d’être ensemble, de se prendre un panino pour deux, de visiter les îles proches, de faire un tour en traghetto, de prendre des photos (cette fois, souvenirs de notre première fois), était plaisant mais (eh oui, à un certain moment, il y a un mais !) il n’y avait plus cette sensation de découverte, de nouveau. 
Pourtant, les autres fois, nous n’avions pas fait certaines visites comme Murano et ses souffleurs de verre ou Burano, ses maisons colorées et son musée de la dentelle ! 

Conclusion, toutes les villes sont belles, tout dépend de nos émotions du moment.  

Quant aux masques, nous irons les voir au carnaval de Mulhouse le 1er mars, c’est moins loin, ou de Delle le 29 mars, c'est plus près. Sinon, pourquoi pas, puisque nous sommes sur place, le carnaval de Belfort ? Ce sera aussi le 29 mars sur thème : « Autour du monde »… Venise (et ses masques) viendra-t-elle à nous ? Départ place de la République ; nous verrons bien.

Bon. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

lundi 10 février 2020

Sanremo amici


Quelle semaine, les amis ! J’ai regardé le festival se Sanremo tous les soirs et le lendemain, j’allais travailler. 
Ça, c’est fort ! 

Tout d’abord, il faut que je vous explique ce qu’est Sanremo. 
C’est une ville qui organise un festival de la chanson italienne depuis 70 ans. Et, depuis quelques années, ce sont 5 jours plus 1 (et plus) de chansons, d’évènements, de palabres, etc. et tout cela pendant 5x24 heures car même la nuit c’est Sanremo ! 
Vous comprenez pourquoi j’étais fatigué le jour, que mon travail est allé au ralenti ? 
Ensuite, il y a le dimanche qui explique le ‘plus 1’ où tous les interprètes sont représentés à nouveau. Et ce n’est pas fini car la chanson (rarement le chanteur) représentera l’Italie à l’Eurovision de la chanson. Et ce n’est pas fini car ceux qui n’ont pas gagné chanteront tout l’été ; pour la plupart, ils nous enchanteront au moins 1 année. 

C’est un festival de dingue ! En même temps quelle beauté, quels interprètes, quelles chansons ! Que du bon ! 

C’est pourquoi, ce lundi matin, je me suis accordé une matinée de congé que j’ai prise volontiers ; je me suis réveillé à 8 heures alors qu’habituellement, je commence sur le chantier à cette heure-là. Mais, quel festival ! Une semaine de pleine lune, en plus ! Génial !
Ça nous change de ces représentations de remises de prix où le spectateur, en tout cas le téléspectateur, s’ennuie. 

Allez, on en parle jusqu’à l’automne et on se donne rendez-vous pour le prochain Sanremo en février 2021. 

Ah, juste une autre chose : L'amitié, ce n'est pas tirer la couverture à soi mais, au contraire, en recouvrir l'ami, ce n'est utiliser l'ami pour se mettre en valeur mais, au contraire, le mettre en valeur. Comprenne qui pourra. 

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

lundi 3 février 2020

Format de pro et pro-forma


Je suis né en France dans les années soixante de parents dont l'un (mon père) venait d’Italie. 
Comme il n’avaient pas (vraiment) de famille là-bas, ils n’y sont pas retournés souvent et ne m’en ont pas parlé beaucoup non plus. 

Ce qui fait que la première fois où je suis allé en vacances en Italie, pour moi, c’était l’étranger ! 
J’ai été confronté à des tas de différences. La première, c’était la langue, bien sûr mais avec le peu que j’avais appris en écoutant mes parents (quand ils se parlaient entre eux) j’avais pu me débrouiller assez facilement. 

Non, moi, la plus grosse et insurmontable difficulté avait été de trouver du courant électrique à 110 volts au lieu du 230 en France ! (En y repensant, c’est peut-être pour ça que je suis devenu électricien !) 
Imaginez, vous apportez un poste à transistor (une radio) et vous ne pouvez par le brancher sur une prise de courant ! Du coup, vous devez acheter des piles si vous voulez écouter de la musique ! Pour moi, c’était un budget… que je n’avais pas ! Ma mère, née en France, avait apporté un ‘foehn’ (un sèche-cheveux) qu’elle ne pouvait pas utiliser ! Même mon père s’était fait attraper avec son rasoir électrique ! Etc. 
Vous n’imaginez pas tous ces objets qui marchent, maintenant, à l’électricité.  

Alors, pourquoi je vous parle de ça ? C’est parce que le Vittorio, mon ami de 20 ans,  que j’ai rencontré en 2001 à Illzach, a fait de la résistance longtemps avant de nous proposer des livres de format poche
Ce n’est pas faute de lui avoir dit : « J’ai une heure sur les chantiers, un livre de poche me serait plus pratique ! » Eh bien, non, il continuait à faire du A5 sous prétexte que « ça présente mieux et donc ça se vend ».
Imaginez que l’Italie (et d’autres pays) continuent à fournir de l’électricité d’un autre voltage que celui de la France ! Non, il faut se mettre aux normes. D’où mon titre de pro-forma. Et la boucle est bouclée. Je suis fort, hein ? 

Ceci-dit, de nos jours, il y a encore des pays qui ont des différences avec nous. En exemple, les formats du papier, l’écartement des rails des trains, etc. ou, (encore !) les prises électrique pour lesquelles il faut acheter un adaptateur.
Je dis : « Je ne suis pas contre les différences mais, il serait temps de se simplifier la vie ! » Non ? 

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !