lundi 30 mars 2020

Laisser le vent au temps


Non mais, vous avez vu ce temps ! On se croirait au mois de mars ! 
Vendredi et samedi, il faisait 18° et aujourd’hui tout est inversé. Il neige même à certains endroits. C’est la danse de mars, une danse à trois temps : un jour de soleil, un jour de pluie et un jour de vent. Et on recommence. 

Non, je ne me plains pas. En fait, ce qui me manque c’est le boulot, de sortir, de voir des gens… Mais, il ne faut pas. Je le sais et je vous le dis : ne sortez pas. S’il y a, actuellement, une façon de contrer ce microbe, c’est de rester chez soi, éviter de rencontrer des gens, de les contaminer, d’être contaminé et de ramener cette saloperie aux siens ! 

Du coup, je suis chez moi. Je suis content, j’en ai un. Et j’ai des livres à lire pour m’évader… sans avoir à sortir ! Je suis un peu triste pour ceux qui ne lisent pas. Ils se privent de plusieurs vies. Ils doivent se sentir en prison. Et le temps n’est pas pour arranger les choses. « Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » disait Paul Verlaine (1844/1896) et aujourd’hui, il pleut sur Belfort… 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc » ; le tome 1 et le tome 2 puisque mon pote Vittorio a sorti le Tome 2, la suite ! Il commence à Belfort (J’y ai appris des choses ; je l’ai suivi !) et vous emmène visiter Colmar. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

lundi 23 mars 2020

Encore debout à cette heure


Ben oui, quand on est habitué à travailler, on a du mal à s’endormir dès qu'on ne travaille pas. En ce moment, on travaille au ralenti. Le dimanche c’est calme plat total !

Oui, je sais, je ne devrais pas me plaindre. Je suis debout, éveillé et conscient. Ça me change de ces périodes où je ne savais pas où donner de la tête. Chacun voulait son chantier terminé. J’étais partout ! J’étais fatigué. Je n’avais pas le temps de penser. Je n’avais pas le temps de panser non plus. 

Travailler nous use. Ne pas travailler nous tue ! 

Mais, comme a dit le philosophe : « Tout ce qui ne nous tue pas, nous rend plus forts. » (Aphorisme revendiqué à la fois par Goethe et Nietzsche) Et, comme je suis encore là pour écrire ce blog, c’est que j’ai survécu. Comme quoi, de l’absence de travail, on finit pas s’y habituer. 

Après-tout, j’aurai 58 ans cette année, je dois m’habituer à la retraite. Elle n’est plus très loin pour moi.
Il faudra que j’y pense… En attendant, cette nuit, je n’ai dormi que quelques heures. Je devrais éviter de faire la sieste le dimanche après-midi. 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc », pas celui de la dernière fois, non, mon pote Vittorio a sorti le Tome 2, la suite qui commence à Belfort (J’y ai appris des choses ; je l’ai suivi !) et se termine à Colmar. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
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lundi 16 mars 2020

Directives, invectives et dérives


Nous en sommes toujours avec cette épée de Damoclès sur la tête et, il faut bien le dire, les gens l’interprètent chacun à sa façon. C’est fatiguant. 

Entre ceux qui suivent les directives du gouvernement, ceux qui n’en font qu’à leur tête et ceux qui exagèrent, il est difficile de travailler. 
Je vous rappelle que je suis électricien, pas médecin. Je dois travailler pour gagner mon pain et je ne touche que les fils électriques, pas les mains des personnes malades ou croyant l’être.  

Alors, qu’on évite de me serrer la main, je suis d’accord mais qu’on ne me fasse pas rentrer (alors que la personne a pris rendez-vous ; je ne l’ai pas obligée) juste parce que j’ai un nom à consonance italienne, je dis non ! Ce n’est pas parce que tu t’appelles Dupont que tu es né sous un pont et ce n’est pas parce que je m’appelle Valloni que je suis né en Italie ! Je suis né à Mulhouse et je vis près de Belfort : c’est en France.  

On se trompe de maladie, là. C’est de la crétinerie, du racisme !
En fait, c’est la peur qui rend les gens imbéciles. 

Tiens, j’ai entendu à la télé que les magasins ont été dévalisés en victuailles. C’est la guerre. Les gens veulent s’enfermer chez eux pour six mois, sans sortir, comme en prison. Mais, pauvre pomme, si le virus est dans l’air, il entrera par la fenêtre ! Il faut bien que tu respires ! 

J’ai mieux : ma femme et moi, nous étions à Colmar. Les rues étaient plutôt vides. Je comprends, manquent les touristes. 
Bon, nous sommes rentrés dans une parfumerie. 
Il y avait là un autre couple dans le magasin qui était rentré avant nous. La dame se fait aborder par une vendeuse qui cherche à placer son produit. Elle est très proche (même tactile, il faut bien qu’elle vende) et elle touche la main et le poignet de la cliente... tout en parlant au monsieur. ( ! ) La cliente dit qu’elle achètera le produit mais pas tout de suite. Elle est venue 'voir' et, comme elle n’habite pas loin, elle reviendra… (pour l’achat, je suppose). Et, c’est là que la conversation se porte sur Mulhouse… puisque la cliente dit qu’elle habite Mulhouse. Du coup, la vendeuse s’éloigne un peu. Elle dit : « Oyéh, vous êtes de Mulhouse ?! » Le monsieur qui accompagne la cliente (fâché ou vexé, je ne sais pas !) réagit. Il dit (sans aucun accent étranger) : « Et en plus, je suis italien. » Du coup, la vendeuse disparait abandonnant le couple à sa collègue… 

Que dire de plus ! 

Enfin ! Ça finira bien par passer. Tout passe.  Ce n’est qu’une question de temps. Quoi que le racisme… si seulement on pouvait trouver le vaccin ! Ce serait bien d’en vacciner quelques-uns. 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc », pas celui de la dernière fois, non, mon pote Vittorio a sorti le Tome 2, la suite. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
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dimanche 8 mars 2020

A demain pour la pince


Vous avez vu ? Quand j’arrive quelque part pour un travail, on ne se donne plus la main. Les maquignons non plus ! Voilà qui est nouveau. 

C’est de la faute à « sconardvirus » ! Il nous a poussés à inventer de nouvelles règles : on se touche le coude, on se tapote le pied (avec chaussure), on se bat les fesses, on se frotte les genoux, on se glisse les cuisses (si affinités). Mais, on sait… gare ! Gare à vous si vous vous touchez la peau ! Vous y laisserez la vôtre… et ce qu’il y a dedans. 

Evidemment, j’exagère un peu. Je le prends même à la rigolade… un peu. Et, ces gestes qui semblent ridicules sont utiles pour nous empêcher de s’habituer à l’éloignement. Même nos enfants ne se tiennent plus la main ; il se tiennent par la corde à sauter, un à chaque bout ! 

D’ailleurs, quand je fais signer un devis et que je présente mon stylo, la personne en face sort le sien. Elle se méfie. Elle se tient à un mètre. Et, dès qu’elle a signé, elle s’éloigne de ce mètre… Bah ! Du moment qu’elle a signé… J’ai du boulot. 

Eh oui, le boulot. On ne peut pas le laisser tomber. On doit s’exposer quitte à braver tous les microbes du monde… ou mêmes les ovnis d’ailleurs. On en est là. On a besoin de travailler. Alors, on s’avance. 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc » de mon pote Vittorio. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. 
Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
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