lundi 25 février 2019

Partant dense


Ce samedi, j’ai quitté ma belle ville de Belfort pour me rendre à Saint-Louis où mon ami Vittorio avait une dédicace. Que ne ferait-on pas pour un ami. 

Départ sous le soleil. C’était agréable ; un peu frais mais ciel dégagé. Juste que, à peine franchi la borne Franche-Comté et entré en Alsace, un brouillard dense à couper au couteau nous a tous obligés à freiner et ralentir. On suivait les feux rouges du véhicule de devant. Et, il nous a accompagnés jusqu’à destination, ce p...n de brouillard ! 

En bref, j’ai fait mes courses (un magasin en vaut un autre) et en sortant, je suis passé devant le stand des écrivains pour dire bonjour à mon ami et lui acheter son dernier livre au titre évocateur « Vacances à Nîmes et… » sur lequel son créateur m’a tout de suite rectifié : « Il faut plutôt lire Vacances animées ! Bien sûr, je parle aussi d’autres lieux mais comme c’était la fête partout !... » 

Bon. Moi, j’étais venu pour discuter un peu et lui acheter le livre. Je l’ai acheté. 

Je suis rentré sous un beau soleil même si l’air était toujours frais. Et il n’y avait plus de brouillard. Mais, cette rectification sur le titre me donnait à réfléchir. Et puis, tout en roulant, on passe à autre chose. 
C’était une matinée utile. J’ai fait mes courses pour la semaine, je suis sorti un peu de mon boulot et j’ai fait plaisir à un ami. Pour moi c’était une excellente matinée.
C’est ce dimanche que j’ai vraiment compris le titre, en lisant le livre. Le petit sacripant ! Il a dû s’amuser dans le midi ! Tant mieux, il a bien fait. 

Je vous mets le lien si le cœur vous en dit. « Vacances à Nîmes et… » Moi, j’attends le tome 2, je sens qu’il y aura encore de quoi dire. Je me régale à l’avance. 

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
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lundi 18 février 2019

Fable du lundi


Fable contemporaine pour commencer la semaine : « Le coq et sa basse-cour, le renard, les loups et moi. »

Pas grand-chose à dire ce matin sinon que je travaille le samedi et que je commence à en avoir marre de dépanner dans un poulailler où le coq est sourd, la basse-cour caquetante inutilement, les renards moins nombreux mais plus affamés, et les loups accueillis avec des pierres ! 

Moi, je travaille même le samedi parce que mes charges ont augmenté, parce que je ne suis pas une entreprise qui ne paie pas des impôts dans le pays où elle exerce ou « on » lui permet de ne pas payer d’impôt de peur qu’elle ne ferme ! Je travaille pour manger. Si ça continue, c’est moi qui devrais fermer ! 

Donc, ça suffit. Que les poules se cotisent pour acheter un sonotone à leur coq. Trois mois que ça dure ! Non mais ! Qu’est-ce que c’est que cette ferme qui ne respecte pas les travailleurs productifs et utiles : le cheval, le bœuf, les vaches, les moutons, les chèvres, etc. ! 

Et j’allais oublier les porcs, sales et salissants. Déjà qu’ils cassent tout, en plus, ils puent leur race et voudraient salir les autres animaux de la basse-cour de leur racisme de poubelles et de décharges. De toute façon, je n’aime pas le porc et je ne comprends pas pourquoi il y a des gens qui en font l’élevage. 

Une autre solution m’est venue à l’esprit : je vais travailler dans une autre ferme ! Et votre dépanneur vous irez vous le choisir en 2022 !
D’ici-là, soit vous êtes au courant soit vous serez dans le noir. 

Marre !
Moralité : ils ne se marrèrent pas et n’eurent pas de courant. Voilà. 

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lundi 11 février 2019

Ce qui rassemble les Humains


Cette semaine, toute l’Italie a regardé la télé. Au total, ils étaient 50 millions devant leur poste de télé. 
Avouez que c’est incroyable ! Même Guy Lux ne faisait pas cette audience. 

Mais, qu’ont-ils regardé ?
Non, ce n’étaient pas les actualités où un gouvernement ( !) a rappelé son ambassadeur ! Non, car c’est sans doute une erreur ; on ne rappelle un ambassadeur que si les liens sont rompus, que si le risque de se faire tuer (lui et son équipe) est omniprésent. Mais non, rien de tout cela. Et de toute façon, cela n’intéresse personne puisqu’il n’y a pas la guerre qui devrait aller avec. 

L’Italie regardait le 69ème « Festival de Sanremo » qui est, pour les Italiens et sympathisants, une institution. Sanremo, c’est le haut lieu de la chanson italienne où les artistes représentent la culture italienne du moment, sans ambiguïté. Même le rap doit se plier aux exigences locales ; protester avec l’humour, oui ; inciter à la haine, non ! 

Et puis, le vainqueur représentera l’Italie (et pas l’Amérique, l’Asie ou le Maghreb, etc.) à l’Eurovision de la chanson.

C’est pourquoi ce festival est important pour les Italiens ; il représente la culture italienne et pas un ersatz prêt à consommer. Alors, les petits coups-bas entre dirigeants, le peuple (des deux pays) s’en fout ! 

Moi aussi, j’ai regardé. Et, je dois dire que la cuvée de cette année était bonne ; de la belle chanson, variée, mélodique, agréable et, j’insiste, sans appel à la haine

Dans une chanson, on peut tout dire mais, seuls les vrais artistes savent faire passer le message. Il est inutile de monter les gens les uns contre les autres. Au contraire, quand on est un Homme digne de ce nom, il faut les rassembler. Et, cette année, ils étaient, au total, plus de 50  millions. 

J’en conclus que : si certaines personnes, pour leurs besoins personnels, divisent les humains, la musique les rassemble tous.  

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lundi 4 février 2019

Les crêpes à l'huile... d'olive


Sur le chantier, il y a un breton. Ce n’est pas qu’il soit ennuyeux, non, il est plutôt sympathique et travailleur ; c’est un excellent collègue. Juste qu’en ce moment, il parait que c’est la chandeleur et à la chandeleur, on fait des crêpes. 

Vous voyez déjà où je veux en venir ?

Bien sûr, je laisse la paternité des crêpes aux bretons. Du monde entier même. Et à tel point qu’elles sont devenues ‘aliment universel’. La preuve : moi aussi j’en fais. Enfin, mon épouse en fait ; moi, je les mange. 

En bref, comme il nous bassine avec les crêpes, comme ça pour plaisanter, je lui ai dit que je les fais avec de l’huile d’olive. Et là, le breton a sursauté : « Sacrilège ; on fait les crêpes avec du beurre ! Et, pour les accompagner, on boit du cidre ! »  

C’est vrai, j’avais oublié que la Bretagne c’est la patrie des crêpes, du beurre et du cidre... Quoi que le beurre et le cidre, les voisins normands… 

Conclusion : nous sommes invités (presque obligés), ma femme et moi, à une soirée chez mon collègue breton pour voir comment on fait les vraies crêpes bretonnes et pour boire du vrai cidre breton. 

Si j’avais su qu’on peut décrocher une invitation rien qu’en lançant une idée, comme ça. Je l’aurais fait avant ! Car, en fait, je ne sais pas comment on fait les crêpes. Comme je l’ai déjà dit : moi, je les mange. 

Ceci-dit, et pourquoi on ne mettrait pas de l’huile d’olive ? 

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