Exhalaisons et vapeurs

 

C’était quand j’étais jeune, à Rome naissant, j’aimais faire de la poésie. J’aimais faire rimer couleur avec odeur… et c’était bien.

Un jour, j’ai écrit quelques vers, effluves de mon imagination, et je les ai envoyés à un « grand parfumeur ». Les voici :

Ton parfum est la rosée / Qui à l’aube, sur une fleur / Doucement va se poser / Pour lui donner son odeur.

Des vers que je trouvais jolis ; il en émanait d’eux une exhalaison tendre due à ma jeunesse car, je vais vous mettre au parfum, personne ne m’a jamais répondu. Le monde de la PUB est cruel et superficiel ; les parfumeurs négligents…

Toutefois, de cette émanation, je m’en suis remis et j’ai continué à faire rimer amour avec toujours en dehors des odeurs de sainteté émises par les négociants de suavités agréables. La poésie a ceci de beau : elle est universelle et par les mots couvre tous les sens, de l’odorat au toucher.

Plus tard, il fallait bien manger, je me suis mis à aimer la fée électricité, celle qui vous donne la lumière et/ou la chaleur… et autres voies car elle a d'autres facettes comme celle sur laquelle je suis en train de vous écrire : les ordinateurs... et autres supports.

Alors, fini les parfums ? Non, les mots sont toujours là et dans ce texte j’en ai mis… un bouquet aux fragrances subtiles ; à vous de percevoir les effluences et les relents plus ou moins cachés.

(Pour votre enquête, il y a entre 15 et 20 mots qui ont attrait aux senteurs. Bonne chance !)

Bien ! Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :

avidoxe, cap. Margenspat, gravillons, pf-vd tandem littéraire, Éric Valloni, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, Ant Askman, suvulunews, dinadedan et VittorioDenim le blog et aussi VittorioDenim.

Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

Et on recommence... à penser, à panser

 

On reprend des mesures, on tâtonne, on inspecte, on définit, on tranche… et on refait ce que l’on avait déjà essayé. Normal, il n’y a pas d’autre solution. Mais alors, pourquoi faire pareil ? Si on ne fait pas autrement, on ne saura jamais si on s’est trompé ou pas, si on a réussi ou pas !

Pendant ce temps, le marchand de béton avance. Et on s’aperçoit que le sable produit des petits picotements qui font dormir mais le béton nous assomme quand il ne nous tue pas ! 

Il est temps que chercher une autre solution… sinon, le corps va la trouver de lui-même ! Mais avec des essais néfastes pour ceux qui ne réussiront pas à s’abriter… des chutes de béton, de masse.

En attendant le matin, rêvons… afin de ne pas tomber dans le panneau ‘chutes de Pierre, Paul ou Jacques’.

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Plus de deux, c'est une bande

 

Vous avez vu ? L’Etat commence à s’inquiéter. Je devrais dire commence « seulement maintenant » à s’inquiéter du développement des bandes de jeunes. Il a quand même fallu des morts ‘rapprochés’.

A la télé, on en parle depuis longtemps pourtant. Des reportages sur ces jeunes qui disent qu’ils n’ennuient. Alors, ils s’occupent. La police a déserté la zone… du coup, ils vont chercher un adversaire dans une localité voisine. Faut bien s’occuper !

Eh bien, voilà ! La solution, ils la donnent eux-mêmes : il faut les occuper.

Mettez-les au travail. Après une journée de travail, on n’a plus envie de chercher des noises à qui que ce soit. Et, dès 14 ans ! A 14 ans, on n’est plus un enfant. On peut travailler. On devrait avoir le droit de travailler. Et ça en éviterait bien des problèmes ! Et des morts aussi.

Mais les psychologues ont dit qu’il faut aller à l’école jusqu’à 16 ans… 

Foutaises. Tout le monde n’est pas fait pour rester assis 8 heures par jour derrière un bureau. Et les psys n’ont pas grandi dans des cités. Ils ne savent rien. Ils pensent avec leurs acquis… reçus de ‘père’ et ‘mère’ dans un fauteuil bourré de confort.

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Mots par-ci et parcimonie

 

Je viens de lire que les gens parlaient trop ! Si, quelqu’un a écrit dans un journal que les gens parlent trop. A mon avis, il s’est trompé d’époque. Ou c’est un vieux reportage !

Moi, depuis un an, les clients, qui pourtant ont besoin de moi, me parlent peu et de loin. Je suppose que c’est pareil pour les autres professions et pour tout le monde, d’ailleurs. L’amour fout le camp ! Les gens se méfient. Ils restent loin et parlent très peu. Ce doit être à cause des masques !  (Heureusement, ils me paient les factures.)

Alors, pourquoi ce reportage ? L’article ne le dit pas.

Ensuite, je me suis dit que le journaliste parlait des gens comme moi qui tiennent un blog. C'est une façon de parler. Pourquoi pas ! Mais même là, si on dit quelque chose, c’est parce qu’on en ressent le besoin. Vous n’allez quand même pas nous priver aussi d’écrire !

Alors, qu’est-ce qu’il a voulu dire par cet article et quel en est le message ? Pourquoi faire un sondage pour dire ça alors qu’on reste à la maison plus souvent qu’avant ?

Comprends pas ! Si vous savez, dites-le-moi.

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