dimanche 8 mars 2020

A demain pour la pince


Vous avez vu ? Quand j’arrive quelque part pour un travail, on ne se donne plus la main. Les maquignons non plus ! Voilà qui est nouveau. 

C’est de la faute à « sconardvirus » ! Il nous a poussés à inventer de nouvelles règles : on se touche le coude, on se tapote le pied (avec chaussure), on se bat les fesses, on se frotte les genoux, on se glisse les cuisses (si affinités). Mais, on sait… gare ! Gare à vous si vous vous touchez la peau ! Vous y laisserez la vôtre… et ce qu’il y a dedans. 

Evidemment, j’exagère un peu. Je le prends même à la rigolade… un peu. Et, ces gestes qui semblent ridicules sont utiles pour nous empêcher de s’habituer à l’éloignement. Même nos enfants ne se tiennent plus la main ; il se tiennent par la corde à sauter, un à chaque bout ! 

D’ailleurs, quand je fais signer un devis et que je présente mon stylo, la personne en face sort le sien. Elle se méfie. Elle se tient à un mètre. Et, dès qu’elle a signé, elle s’éloigne de ce mètre… Bah ! Du moment qu’elle a signé… J’ai du boulot. 

Eh oui, le boulot. On ne peut pas le laisser tomber. On doit s’exposer quitte à braver tous les microbes du monde… ou mêmes les ovnis d’ailleurs. On en est là. On a besoin de travailler. Alors, on s’avance. 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc » de mon pote Vittorio. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. 
Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

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