lundi 23 mars 2020

Encore debout à cette heure


Ben oui, quand on est habitué à travailler, on a du mal à s’endormir dès qu'on ne travaille pas. En ce moment, on travaille au ralenti. Le dimanche c’est calme plat total !

Oui, je sais, je ne devrais pas me plaindre. Je suis debout, éveillé et conscient. Ça me change de ces périodes où je ne savais pas où donner de la tête. Chacun voulait son chantier terminé. J’étais partout ! J’étais fatigué. Je n’avais pas le temps de penser. Je n’avais pas le temps de panser non plus. 

Travailler nous use. Ne pas travailler nous tue ! 

Mais, comme a dit le philosophe : « Tout ce qui ne nous tue pas, nous rend plus forts. » (Aphorisme revendiqué à la fois par Goethe et Nietzsche) Et, comme je suis encore là pour écrire ce blog, c’est que j’ai survécu. Comme quoi, de l’absence de travail, on finit pas s’y habituer. 

Après-tout, j’aurai 58 ans cette année, je dois m’habituer à la retraite. Elle n’est plus très loin pour moi.
Il faudra que j’y pense… En attendant, cette nuit, je n’ai dormi que quelques heures. Je devrais éviter de faire la sieste le dimanche après-midi. 

Au fait, j’ai toujours ce truc intéressant pour éviter les microbes. J’achète mes livres neufs. A ce propos, je vous conseille « Rouge sur Blanc », pas celui de la dernière fois, non, mon pote Vittorio a sorti le Tome 2, la suite qui commence à Belfort (J’y ai appris des choses ; je l’ai suivi !) et se termine à Colmar. Commandez-le via internet, ça aussi vous évitera d’attraper des microbes. Et, bonne lecture.  

Bien. Comme convenu avec mes vrais amis, voici leurs blogs :
Bonne lecture et, faites-vous plaisir, partagez. Merci. Allez-y, partagez !  

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